07 mars 2024|Insertion pro

Insertion professionnelle de nos élèves

Enquête d'emplois

Entreprises privées et publiques, fonction publique, associations, organisations… Les employeurs des diplômés de Sciences Po Bordeaux sont très variés, à l’image des formations dispensées par l’école.

Taux d’insertion professionnelle, nature des emplois, localisation, rémunération… Notre dossier pour tout savoir sur le devenir de nos diplômés. 

Il n’est pas certain que les étudiants actuels de Sciences Po Bordeaux connaissent la raison d’être de la création des instituts d’études politiques, dont celui de Bordeaux créé en 1948. Ces établissements ont été chargés de reconstruire les élites publiques et administratives au sortir de la seconde guerre mondiale, comme le stipule l’ordonnance n°45-2283 du 09 octobre 1945. Autrement dit, ils répondaient déjà à la problématique d’un employeur principal : l’État. Cette origine explique pourquoi Sciences Po Bordeaux a été considéré pendant longtemps comme un établissement formant essentiellement des étudiants qui se destinaient à la fonction publique. Les choses ont commencé à bouger à partir de la fin des années 1980 sous l’effet conjugué de la mondialisation d’un côté, l’essor des organisations et des associations de l’autre, élargissant alors le champ des possibles des étudiants en matière d’insertion professionnelle. Les années 2000 marquent un basculement puisque pour la première fois dans l’histoire de l’Institut, la fonction publique ne régnait plus en maître dans les statistiques de l’école, devancée par les entreprises privées. C’est toujours le cas aujourd’hui.

Ainsi, l’observatoire de Sciences Po Bordeaux sur le devenir de ses alumni à 30 mois indique que 41% des diplômés 2020 sont employés dans le privé, 28% dans la fonction publique, 18% dans des associations ou ONG et 5% dans des organisations internationales. Même si ces chiffres varient de quelques pourcents d’une promotion à une autre, on retrouve ici une tendance stable depuis de nombreuses années. En termes de domaines d’activité, cette même cohorte de 2020 trouve son bonheur auprès de deux grandes typologies d’employeurs depuis plus de deux décennies maintenant, l’une « publique » et l’autre « privée » : l’administration (20%) d’un côté, les études et le conseil (19%) de l’autre. Avec, en corollaire, une multitude d’autres secteurs, tous à moins de 10% de diplômés : La santé et le social, l’économie et la finance, l’enseignement, la sécurité, les arts et la culture, l’information et la communication, l’urbanisme ou la recherche-développement.

Formation et emploi : les vases communicants

Ces chiffres attestent de la très grande variété des emplois obtenus par les étudiants de Sciences Po Bordeaux et par là même des profils de leurs employeurs (voir en bas de page la liste des employeurs et les fonctions des étudiants diplômés en 2020). L’occasion de préciser qu’en 2024, l’école fête les 20 ans de son passage à une scolarité en 5 ans, synonyme de professionnalisation avec l’instauration de masters très diversifiés et le recours à des intervenants professionnels en sus des cours prodigués par les enseignants et enseignants-chercheurs de l’Institut.

Ces différents « parcours » sont regroupés aujourd’hui à travers quatre grandes catégories, appelées « majeures » : Affaires internationales ; Carrières publiques ;  Management de projets et organisations et Politique, société et communication. L’établissement s’est ouvert depuis à l’alternance, laquelle s’élargit à un nombre de formations, savant équilibre entre des compétences ancestrales propres aux étudiants « Sciences Po » et l’intégration de connaissances en phase étroite avec le marché de l’emploi. La réforme pédagogique de l’école – effective pour le premier cycle et en cours de réflexion pour le second – traduit cette volonté. Le choix de l’école de développer la culture scientifique de ses élèves sera indispensable aux décideuses et décideurs de demain. De même, l’instauration régulière d’enseignements en phase avec les grands enjeux d’aujourd’hui (réchauffement climatique, démocratie participative, IA, cybersécurité, etc.) renforce l’employabilité des élèves de l’école. Ces derniers, qui ont connu plusieurs crises économiques et une pandémie mondiale, sont d’ailleurs de plus en plus inquiets sur ce point. Pour les rassurer, le Pôle Carrières de l’établissement dispose de chiffres particulièrement rassurants.

Employabilité des étudiants : des chiffres éloquents

La dernière étude réalisée auprès des diplômés 2020 trente mois après leur départ de l’école indique que 89% d’entre eux sont en emplois et 5% dans une autre situation (poursuite d’études, année sabbatique, etc.). 7 sur 10 environ bénéficient d’un emploi manifestement stable statutairement parlant, puisqu’ils sont soit en CDI (54%), soit fonctionnaires (14%). Moins d’un alumni sur quatre est en CDD. 59% de ces anciens étudiants possèdent le statut de cadre et 25% sont agents de catégorie A de la fonction publique. Leur revenu net moyen mensuel s’élève à 2400 € hors prime. Pas mal après seulement deux ans d’expérience tout au plus !

L’internationalisation de nos étudiants – un phénomène marquant - se vérifie puisque 20% des diplômés 2020 travaillent déjà à l’étranger. Ceux restés en France évoluent à 67% en Ile de France, 16% en Nouvelle-Aquitaine et 17% dans une autre région. Par rapport à l’obtention de leur poste au regard du profil de leur employeur, 94% estiment que leur diplôme a été « décisif » ou « non négligeable » contre 6% qui jugent son apport « minime ». Selon leur cursus, le rôle crucial ou non du diplôme varie. Pour autant, 89% des diplômés 2020 recommandent leur formation. Enfin, à l’heure où la majorité des jeunes générations veulent concilier épanouissement personnel et vie professionnelle riche de sens, 83% des diplômés de cette promotion éprouvent de la satisfaction par rapport à l’emploi occupé. Un chiffre qui fait plaisir !

Les compétences de nos étudiants que les employeurs exploitent

Pourquoi les managers recrutent-ils des élèves de Sciences Po Bordeaux ? Deux employeurs ont répondu à cette question de manière spécifique au regard de leur activité et des postes à pourvoir. De manière plus générale, les entreprises apprécient « des Sciences Po » leur sens relationnel, leurs capacités rédactionnelles, d’analyse et de synthèse ou encore leur autonomie, leur adaptabilité et leur sens du travail en équipe. À l’inverse, pourquoi des étudiants s’orientent en fin de cursus vers tel ou tel employeur ? Nous avons aussi posé la question à des élèves de 3e et 4e année et à des alumni de différentes générations et évoqué leur vécu. Une chose est sûre : les liens entre nos étudiants et le monde professionnel sont permanents, à l’image des Rencontres Carrières organisées depuis 25 ans par Sciences Po Bordeaux. L’événement, qui se tient chaque année en octobre, mobilise une centaine d’anciens élèves qui, avec la bénédiction de leur employeur, présentent leur trajectoire professionnelle et les opportunités d’emplois dans leur secteur d’activité. Certains profitent de l’occasion pour pré-recruter. Plus de 800 étudiants de l’école participent à ces échanges, preuve de leur implication. Même si répondre à une offre d’emploi demeure le principal vecteur d’obtention de leur premier emploi (35%), les stages et l’alternance constituent une réelle opportunité d’insertion professionnelle (24%) pour nos étudiants.

En plus des habitués à ces Rencontres Carrières, des secteurs émergents sont de plus en plus représentés, comme l’économie sociale et solidaire, les énergies renouvelables et plus récemment encore, celui du sport. Le pôle Carrières a travaillé en collaboration avec l’APEC, renforçant ainsi le potentiel d’offres d’emploi, toutes diffusées par le réseau Sciences Po Bordeaux. Il organise en outre chaque mois un accompagnement à l’orientation des étudiants, les motivant à effectuer des stages, y compris dès la première année. Qu’on se le dise : les étudiants de Sciences Po Bordeaux ont bien la tête à l’emploi et la tête de l’emploi !

Des élèves et des employeurs témoignent

Garance Pinos, étudiante en Master 1 Communication publique et politique

« Je ne me vois pas dans une organisation en décalage avec mes valeurs »

Le goût de la communication politique de Garance Pinos remonte à ses années au lycée. « Je me suis posé la question de savoir qui concevait les affiches et les campagnes politiques des candidates et candidats aux élections en me disant que c’était un métier qui pourrait m’intéresser ». Après son premier cycle à Sciences Po Bordeaux, le choix du master Communication publique et politique semblait tout tracé. « Le premier semestre de 4e année a été assez théorique. Le second s’avère plus concret avec l’apport d’intervenants professionnels » explique la jeune femme. Celle-ci aimerait notamment travailler dans la communication pour le secteur public à une échelle gouvernementale ou territoriale. « L’employeur rêvé serait le Service d’information du gouvernement (SIG). Même si cela semble un peu utopique, je me dis que rendre l’information accessible et compréhensible au plus grand nombre fait avancer la démocratie ». Autre voie possible : embrasser un métier lié à l’inclusivité au sein d’une entreprise privée. Pour l’instant, Garance Pinos n’a effectué qu’un seul stage en complément de jobs étudiants. Sa participation aux ateliers Vocational Project de Sciences Po Bordeaux l’a néanmoins poussée à contacter des acteurs de la communication et, de là, à élargir son imaginaire professionnel. « Je ne me vois pas dans une organisation tentaculaire ni dans une structure en décalage avec mes valeurs. Si l’intérêt du travail prime, la question du revenu fera aussi partie de mes critères » précise celle qui, en revanche, ne se fixe aucune limite géographique, en France comme à l’étranger. « J’ai bien traversé la France depuis la Franche-Comté pour venir étudier à Bordeaux. Je veux donc aller où le vent me portera pour aller travailler ».

Andréa Lalonnier, étudiante 3e année

« Travailler dans la com dans une société innovante et créative »

Andréa avait comme projet professionnel de s’orienter vers le journalisme, du moins jusqu’à son année mobilité de 2e année à Bristol. « Pendant cette année d’études en Angleterre, j’ai créé une chaîne Youtube. Autodidacte, je me suis lancée dans la vidéo en achetant une caméra et en partant à l’aventure. J’ai réalisé à cette occasion que c’est la communication que j’apprécie réellement » explique l’étudiante. Cette dernière envisage de s’orienter vers un master communication ou marketing plus en lien avec ses aspirations créatives, lesquelles pourraient lui donner envie un jour de se lancer dans l’entreprenariat. « Je mène actuellement un projet personnel en faisant intervenir des personnes de Sciences Po Bordeaux à vocation pédagogique sous le thème « c’est quoi être étudiant à Sciences Po Bordeaux ». L’exercice, entre information et pédagogie, résulte d’une analyse de terrain. « Pour avoir accueilli des lycéens lors des journées portes ouvertes à Sciences Po Bordeaux, j’ai le sentiment qu’il y a parfois un décalage entre l’image que certains se font de l’établissement et le vécu qu’en ont ses étudiants. Je souhaite faire partager diverses opinions afin que chacun se fasse la sienne ». Animée par le domaine de la pédagogie, elle aimerait créer du contenu sur cette thématique. « L’idéal serait de travailler au sein d’une entreprise innovante et créative avec un bon équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle » conclut la jeune femme qui sait que les rêves d’aujourd’hui seront peut-être les réalités de demain.

Pierre Armengaud, chargé de mécénat fondation RTE

« Des opportunités d’emplois pour les profils Sciences Po »

Diplômé en 2022, Pierre Armengaud était encore il y a peu étudiant à Sciences Po Bordeaux. « J’ai été recruté par la fondation RTE comme alternant avant de me voir proposer un CDI » explique celui qui a opté pour le master Économie sociale et solidaire et innovation sociale (ESSIS) de l’institut. « Quand on connaît le rôle de gestionnaire du réseau de transport d’électricité français de RTE, on pense plutôt à des ingénieurs. Mais pour une fondation comme la nôtre créée en 2008 sous l’égide de la Fondation de France et centré sur des actions en faveur du développement des campagnes, les étudiants de ce master ont le profil parfait ». À tel point qu’une étudiante de ce même cursus a postulé pour la prochaine rentrée suite à une campagne de recrutement cours pour l’année 2024-2025. « Ce master fait référence en France, tant par le gage de qualité de son responsable Timothée Duverger que les connaissances pointues en ESS qui y sont dispensées » souligne le chargé de Mécénat. Ce dernier, sous sa casquette de recruteur, regrette de ne pouvoir offrir un poste salarié aux étudiants de cette formation dont sa fondation loue les qualités : ouverture d’esprit, curiosité intellectuelle ou encore capacités d’adaptation. Mais rien n’est perdu puisqu’un transfuge de la fondation vers RTE semble désormais possible…

Une ligne directe avec RTE

« Les alternants de l’institut passés par notre Fondation peuvent en effet profiter de l’expérience acquise pour tenter de rejoindre RTE, une entreprise en pleine croissance qui s’ouvre à des profils Sciences Po, notamment pour des postes d’interface avec les collectivités locales et de concertation plus généralement » précise Pierre Armengaud. « Notre fondation accompagne les communes rurales sur une multitude de projets économiques, sociaux, environnementaux, éducatifs, économiques ou culturels dont la gestion et l’accompagnement sont confiés à nos alternants. Ces derniers sont en prise directe avec de nombreux interlocuteurs, ce qui s’avère très formateur pour eux ». Le spectre des opportunités s’élargit en outre puisque d’autres postes au sein de RTE sont potentiellement à pourvoir, en lien avec les affaires publiques, les achats, la concertation ou les politiques environnementales. « Ils peuvent intéresser des étudiants actuels ou anciens de l’école car ce sont des opportunités d’emplois » conclut Pierre Armengaud.

Eric Marescaux, ancien élève, associé du cabinet Public Impact Management (PIM)

« Une question d’affinités »

Diplômé promo 1989, Eric Marescaux avait opté pour la section Service Public à une époque où la scolarité Sciences Po Bordeaux durait trois ans et ne comptait pas encore de masters. Après un DEA au CERVL. Pouvoir, action publique, territoire1, il a vécu l’expérience de la coopération avant son premier emploi dans une mairie des Yvelines. Son cursus lui vaut d’être recruté en 1996 par KPMG. Aujourd’hui associé du cabinet Public Impact Management (PIM) spécialisé dans le conseil et la formation au secteur public, il revient aux origines de sa trajectoire professionnelle. « Je me souviens de discussions avec des intervenants au sein de l’école qui m’expliquaient que le public s’intéressait aux méthodes de gestion du privé alors que ces deux mondes étaient encore étanches avec un clivage marqué. Le principe de construire ma carrière avec des allers-retours entre ces deux univers me séduisait, ce que j’ai fait. L’idée était vraiment originale car la grande majorité des étudiants de la section « service public » ne se destinaient alors qu’à la fonction publique ». Interrogé sur la présence importante aujourd’hui d’alumni Sciences Po Bordeaux dans des activités de conseil, Eric Marescaux la trouve logique au regard du profil des étudiants de l’école. « Un consultant généraliste n’est pas un expert technique. Sa mission est de prendre en compte une problématique, une situation, des objectifs et, à partir d’une analyse points forts / points faibles de proposer des axes de progrès et des actions concrètes pour les mettre en œuvre. Ceci nécessite de traiter l’information, la digérer, la reformuler. Le sens de la synthèse, la capacité à faire ressortir des points saillants et de trouver des pistes de solutions correspondent aux aptitudes et compétences des élèves de l’école ».

D’employé à employeur

En qualité de décideur, l’ancien élève est devenu recruteur d’étudiants de l’Institut. « Nous avons même compté un temps trois associés de Sciences Po Bordeaux sur six au total au sein de notre cabinet » souligne Eric Marescaux qui constate une certaine homogénéité entre les élèves issus des grandes écoles. « Les process des IEP sont comparables à ceux des autres grandes écoles. Les élèves vivent tous une année de scolarité à l’étranger ou de césure, effectuent des stages ou passent par le filtre de l’alternance, ce qui participe à leur émancipation et à la connaissance du monde des entreprises ». De fait, dans son approche de recrutement, l’associé du cabinet PIM porte une attention particulière à l’adéquation de la personnalité et de ses aspirations au poste proposé. « Au-delà du fait de vouloir travailler dans une entreprise de conseil auprès d’acteurs publics, la candidate ou le candidat doit être en phase avec notre ADN car il existe différentes catégories de structures. Le nôtre, à taille humaine, offre des perspectives d’évolution et d’autonomie différentes de certaines sociétés où les carrières sont plus « formatées ». C’est à chaque étudiant de ressentir avec quel employeur il sera le plus en affinité pour son épanouissement professionnel et personnel ».

1 Née à la fin des années 1960 sous le nom initial de CERVL, cette Unité mixte de recherche signifiait Centre d’études et de recherche sur la vie locale.

Isabelle Perguilhem, Déléguée Emploi Direction Action Régionale EDF Nouvelle-Aquitaine

« Des diplômés qui viennent par conviction »

10 000. C’est le nombre de personnes que le groupe EDF accueille chaque année, tous statuts confondus : salariés CDI et CDD, alternants, stagiaires… « Parmi eux figurent des profils Sciences Po, au nombre certes minime par rapport à des ingénieures et ingénieurs ou techniciennes et techniciens, mais pas anecdotique pour autant » explique d’emblée Isabelle Perguilhem, Déléguée Emploi à la Direction Action Régionale EDF Nouvelle-Aquitaine. « La raison d’être de notre groupe est de construire un avenir énergétique neutre en CO2 ; l’électricité n’est pas un bien comme les autres à l’heure de la décarbonation et de la souveraineté énergétique. Aussi, aux côtés de métiers de très haute technicité, nous avons besoin de collaboratrices et de collaborateurs qui ont la fibre des étudiants des instituts d’études politiques pour relever les défis qui sont les nôtres dans un monde en transition et soumis à une urgence climatique énergétique ». Et lorsqu’on lui demande les qualités que l’on prête aux étudiants d’une école comme Sciences Po Bordeaux au sein d’EDF, la déléguée à l’emploi cite, entre autres, « l’esprit d’ouverture, la rigueur, l’art de la synthèse ou encore les capacités rédactionnelles, d’analyse et d’adaptation ».

De la prise de conscience des enjeux de l’énergie aux actions de terrain

« Les étudiants fraîchement diplômés qui arrivent chez nous peuvent se voir confier la gestion de projets ou des postes d’interface avec les parties prenantes d’un territoire. Ils peuvent aussi travailler au sein d’une direction marketing ou achat. S’ils en ont l’appétence et les facultés, ils peuvent même se voir proposer des fonctions de management ». Isabelle Perguilhem explique que cette intégration se fait d’autant plus facilement qu’un dispositif d’immersion, de compagnonnage et même de formation complémentaire, est prévu par EDF. « Nous recrutons aussi des diplômés qui bénéficient d’une ou plusieurs années d’expérience au sein d’une collectivité, d’un cabinet d’audit ou d’une société de conseil. Tous auront la possibilité de construire leur carrière au sein du Groupe à travers des fonctions très diversifiées, en France comme à l’international, comme l’on fait des alumni qui sont aujourd’hui cadre supérieur ou cadre dirigeant ». Si Isabelle Perguilhem reconnaît à tous les Sciences Po du Groupe EDF « un esprit de service public chevillé au corps », elle observe avec les nouvelles générations de diplômés « une prise de conscience des enjeux de l’énergie dans la lutte contre le réchauffement climatique et des candidats qui démontrent une réelle force de conviction pour agir ». Moralité : quand on est diplômé de Sciences Po, on ne va pas chez EDF par hasard !

Liste des employeurs et les fonctions des étudiants diplômés en 2020

Exemples d’organismes et d’entreprises qui emploient nos diplômés :

ACTED - Agences françaises de développement - Assemblée Nationale - BPI France - Banque Publique d'Investissement - Capgemini Consulting - Conseil départemental - Direction des Territoires, de l'Alimentation et de la Mer - Doctolib - ENM- EY - Huawei Technologies – KPMG - Magellan Consulting – Mazars - Ministère de la Justice – OCDE – OFPRA – Parlement européen – SUEZ - UNICEF France - Ville de Paris - WE Communication…

Exemples d’intitulés d’emplois occupés par la promotion 2020 :

Adjoint chef de cabinet - Advisor, Interministerial and institutional Affairs - Attaché parlementaire - Auditeur de justice - Business developper - Chargé de communication - Chargé d'accompagnement des demandeurs d'asile - Chargé d'études en urbanisme - Commissaire des armées - Consultant chef de projet IT - Consultant en stratégie territorial - Directeur pénitentiaire d'insertion et de probation - Head of data impact - Journaliste reporter d'images - Responsable de centre social et culturel - Responsable Marketing…